Loin d’être une obligation légale, le recours à un expert-comptable est fortement recommandé. Les démarches administratives et fiscales doivent être confiées à un professionnel maîtrisant parfaitement ces domaines. En tant que chef d’entreprise, cette collaboration vous décharge d’un poids relativement lourd. Dans cet article, vous trouverez 6 conseils pour choisir le bon expert-comptable à Cannes.

Conseil n°1 : définissez les besoins en gestion de votre entreprise

La première démarche à effectuer si vous êtes à la recherche d’un expert comptable à Cannes est de faire le point sur les besoins de votre société. Déterminez les services qui vous semblent utiles et le niveau d’accompagnement qui pourrait vous aider. Pour cela, vous devez distinguer les tâches à confier au professionnel de celles que vous pouvez prendre en charge vous-même. Définir ses besoins est d’une importance capitale que ce soit pour créer une entreprise ou pendant la phase de développement. Vous aurez ainsi une idée plus précise des missions à lui communiquer. Le cabinet que vous allez choisir doit également être inscrit au tableau d’ordre des experts-comptables. Cette affiliation garantit un degré de compétence plus élevé notamment au niveau de la gestion. Tout comptable qui n’a pas entamé ces démarches d’inscription est considéré comme douteux.

Conseil n°2 : vérifiez la réputation du cabinet

La réputation du cabinet est le deuxième critère que vous devez vérifier. Vous pouvez commencer par réaliser quelques recherches sur la toile. Vous trouverez alors des commentaires laissés par d’anciens clients mais aussi par des clients actuels. En réalité, il n’y a pas meilleure preuve des compétences d’un cabinet que les feedbacks de ses collaborateurs. Lisez bien ces avis et essayez de comprendre les missions que le cabinet a mené ainsi que les défis qu’il su relever avec brio. Par ailleurs, le savoir-faire d’un expert-comptable peut être vérifié en contactant les sociétés qui ont déjà fait appel à ses services. Même si celles-ci ne font pas partie de votre secteur d’activité, leurs retours sur expériences vous seront d’une grande utilité pour prendre une décision définitive et limiter les risques d’arnaques. Car comme vous pouvez vous en douter, les démarches fiscales requièrent une précision sans faille. Au moindre faux-pas, vous pouvez risquer des pénalités conséquentes.

Conseil n°3 : choisissez un expert-comptable disponible

Pendant vos recherches, tous les experts-comptables que vous allez contacter vous assureront une grande disponible. Mais la réalité est toute autre. Vous devez donc vous assurer que le cabinet à qui vous allez confier votre comptabilité sera en mesure de répondre à vos questions et à prendre en charge les missions requises à n’importe quel moment. Les démarches comptables sont régies par des conditions et des dates limites qu’il faut honorer. Dans le cas échéant, vous pouvez même être confronté à des procédures judiciaires. Si vous recherchez un expert comptable immobiiler, vous devez avoir la certitude que ce professionnel sera prêt à clôturer un bilan financier à temps ou à traiter un problème fiscal avant que la situation ne s’envenime. Notez qu’un bon cabinet n’est pas celui qui vous prodigue des conseils ponctuels, c’est celui qui sait se montrer disponible tout au long de la vie de votre entreprise.

Conseil n°4 : renseignez-vous sur les méthodes de travail du cabinet

Les outils de travail utilisés par le cabinet comptent tout autant que son éthique professionnelle. Certains comptables font appel à des dispositifs numériques alors que d’autres privilégient les documents en papier. Essayez donc de tenir compte de ce critère pour trouver un expert avec lequel vous partagez la même vision et le même mode de travail. Cependant, avec l’avènement du digital, il est vivement recommandé de faire appel à un cabinet qui comprend l’importance des outils numériques. Cette approche vous permettra de gagner du temps et de conserver une traçabilité utile pour la gestion de votre entreprise.

Conseils n°5 et 6 : examinez les prix et les services

Si nous avons décidé de vous fournir ces conseils simultanément, c’est parce qu’ils sont étroitement liés. En effet, l’évaluation des tarifs doit se faire en fonction du nombre de services demandés et de leur niveau de complexité. Il convient donc de souligner que les prestations d’expertise comptable sont très nombreuses. Vous ne pouvez pas juger le prix demandé par un cabinet sans savoir quelles missions vous souhaitez lui confier. Pensez toutefois à consulter plusieurs professionnels, histoire de vous faire une idée claire sur le prix du marché. Ensuite, évitez de vous jeter sur le cabinet affichant les tarifs les plus bas. Il faut prendre en considération les critères précédents pour faire un choix que vous ne regretterez pas.


En entreprise, il n’est pas rare que le salarié soit commissionné pour une mission d’ordre professionnel. En règle générale, de telles missions nécessitent que ce dernier fasse usage de son véhicule. Les dépenses générées lors du transport devront être prises en charge par l’entreprise et déductibles sur l’impôt. On parle de frais kilométrique et impôts. Cela est également applicable pour le déplacement entre la maison et le lieu de travail.

Dans cet article, vous en saurez plus sur son fonctionnement.

Frais kilométriques et impôts : les conditions

Le calcul des frais kilométriques est un exercice délicat au cours duquel l’employé et l’employeur devront se soumettre à des conditions. Son rôle est de faciliter la tâche aux deux parties.

Pour le salarié

Selon les prescriptions, tout salarié a le droit de réclamer des frais kilométriques s’il utilise son véhicule pour le compte de l’entreprise qui l’a embauché. Ces frais permettent de compenser les diverses dépenses qui auront été faites lors du parcours. Il s’agit notamment de :

Entre tous ces frais, l’exercice peut devenir compliqué. C’est pour éviter cela que les indemnités kilométriques déductibles sur les impôts ont été initiées, que vous utilisiez un véhicule professionnel ou personnel à des fins professionnelles.

Toutefois, les frais kilométriques ne prennent pas en compte les dépenses de crédit ou de péages ou stationnements. Elles sont plutôt déductibles d’une autre indemnité et doivent être nécessairement prouvés avant d’être accordés (déduction sur impôt ou remboursement).

Pour conclure, il est important de savoir que le calcul des frais kilométriques dépend du contrat entre le salarié et son employeur. Cela s’applique que ce soit un contrat à durée déterminée (CDD), un contrat à durée indéterminée (CDI), à plein temps, à temps partiel ou intermédiaire. De plus, ces indemnités sont désormais applicables aux employés vélocyclistes.

Pour l’entreprise

Le rapport entre les frais kilométriques et les impôts est tel que, les prises en charge des frais kilométriques par une entreprise vis-à-vis de ses employés ou ses dirigeants sont déductibles de ses impôts. L’exonération de cotisations sociales est applicable aux véhicules motorisés et aux vélos, si la dépense ne dépasse pas 200 € par an et par employé.

C’est-à-dire qu’il existe un plafond applicable à toutes les indemnités des frais kilométriques. C’est l’ultime raison pour laquelle les déductions sur impôt ne peuvent pas être accordées sans preuves tangibles de la part de l’entreprise.

Comment fonctionne l’indemnisation des frais kilométriques ?

Pour calculer son indemnité kilométrique, le salarié est exposé à de nombreux choix. Tout d’abord, il s’agit d’un compte qui se fait sur toute une année civile. Pour réussir son calcul, il suffira de s’appesantir sur le barème rédigé et publié par le fisc. Vous pourrez aussi déduire, de manière forfaitaire, une somme s’élevant au 10 % de votre total imposable.

Une autre façon de réaliser le calcul de ses indemnités kilométriques est de déduire toutes les dépenses effectuées lors de ses allers-retours entre son domicile et son lieu de travail ou lors de tout déplacement à caractère professionnel.

Même si ce procédé paraît long à suivre, il faudra être patient, vigilent et minutieux dans les dépenses pour pouvoir les prouver. En effet, l’exécution des frais kilométriques sur l’impôt ne peut être accomplie que si les justificatifs de chaque déplacement ou de chaque dépense sont dûment présentées.

Il faudra donc être regardant quant à la conservation de toutes les factures ou les tickets de carburant, les justificatifs des dépenses liées à votre assurance auto ou aux réparations durant l’année (à but professionnel uniquement). De ce fait, c’est à dessein qu’un plafond est déterminé par le barème.

La manière la plus facile de calculer les frais kilométriques est de suivre le barème proposé par l’administration fiscale. C’est pourquoi il est important de connaître la puissance fiscale de votre véhicule en CV (Chevaux Vapeur) et faire la somme de ses déplacements en kilomètres tout le long de l’année, sachant qu’un seul aller-retour par jour de travail effectif est permis ;

En règle générale, la distance prise en charge par l’indemnisation est limitée à 80 km par jour, aller-retour y compris. Cela signifie qu’idéalement, votre domicile devrait se situer au maximum dans les 40 km de votre lieu de travail.

Au-delà de 80 km, le salarié doit pouvoir expliquer, avec des preuves effectives, les raisons professionnelles, familiales ou sociales qui expliquent cela. Si ces preuves sont validées, la déduction ou le remboursement pourront être faits en intégralité. En somme, l’indemnisation de frais kilométrique contribue à l’amélioration de la vie des employés.

Quel est le barème du taux d’indemnisation des frais kilométriques ?

Le barème du taux d’indemnisation est un document qui explicite les conditions et les contraintes autour de l’indemnisation. Il est publié et renouvelé chaque année par l’administration fiscale. Compte tenu de cela, nous ne pouvons pas fournir d’informations précises en ce qui le concerne.

Voilà ! Vous êtes maintenant armés en ce qui concerne la déduction des frais kilométriques sur l’impôt : jouissez-en !

Plus une société est grande, plus il faut mettre en place une stratégie de gestion de personnel plus efficace. Avant de rechercher des techniques permettant d’améliorer cette gestion de personnel, il est nécessaire de comprendre la structure ainsi que l’organisation au sein de l’établissement. En maîtrisant ces deux éléments, vous allez facilement trouver un moyen d’optimiser l’administration des ressources humaines. Mais quels sont

Faites-vous accompagner par des professionnels

Grâce à des experts comme conseilcse.fr, vos missions concernant la gestion du personnel ne pourront plus vous compliquer la vie. En tant que conseiller, ce prestataire vous accompagnera dans la recherche d’une solution répondant aux besoins des salariés. Que vous soyez à la recherche d’une formation, d’une rédaction de PV ou d’une hotline juridique, le mieux est de contacter ce type de professionnel.

Avec l’aide d’un véritable expert, vous aurez également la chance d’élargir les propositions CSE présentées aux employés. Si nécessaire, vous pouvez même accéder à une plateforme en ligne où vous pouvez comparer différents centres de divertissement et de loisir. En sollicitant un spécialiste, vous allez obtenir des conseils sur la gestion des bénéficiaires, les moyens de communication, la comptabilité, les aides juridiques ou encore les subventions au sein du comité social et économique.

Suivre une formation CSE

Afin d’améliorer la gestion de votre personnel, il est conseillé de suivre une formation CSE. L’objectif de cet apprentissage est d’aider la personne en charge des ressources humaines non seulement à combler aux besoins des salariés, mais également à réduire les risques professionnels. En principe, un membre élu dans le CSE doit obligatoirement se former dans le domaine. D’ailleurs, le Code du travail affirme cette responsabilité dans l’article L.2315-18.

Avec cette formation, vous allez ainsi connaître les évolutions juridiques et les lois en matière de gestion de personnel. Pour être en mesure de proposer une solution efficace, des enseignements sur les outils de communication, de la vie au bureau ou des budgets pourront faire partie de l’initiation. En contactant conseilcse.fr, par exemple, vous trouveriez une formation en Inter ou en Intra avec des stages de perfectionnement et thématiques.

Utiliser des logiciels dédiés aux services des ressources humaines

Dans le cadre de l’amélioration de la gestion de personnel, il est indispensable de mettre en œuvre des logiciels consacrés au RH. Cependant, sachez que cet outil numérique doit être bien choisi en fonction de la taille de l’entreprise ou du nombre de salariés à gérer. Grâce à ce programme, il sera plus facile de gérer les tâches administratives, la relation sociale ainsi que la dimension stratégique et économique.

Bien qu’il existe déjà le logiciel Excel, ce dernier ne peut pas automatiser certaines missions. Afin de gagner plus de temps, le responsable du personnel devra utiliser un outil digital à la fois performant et flexible. À titre d’exemple, les informations liées aux ressources humaines ou à la comptabilité seront stockées dans une seule plateforme. En cas de changement de poste, il suffit de rechercher et modifier les données à propos de l’employé concerné.

Privilégier la communication avec votre personnel

Souvent oubliée, la communication avec votre personnel est un point essentiel qui permet de faciliter la gestion de personnel. Pour que le salarié soit toujours motivé, il faut penser à écouter leurs remarques et leurs commentaires. En prenant en considération les plaintes d’un employé, vous allez savoir comment booster leur performance. De ce fait, il est recommandé d’organiser régulièrement un briefing ou une réunion avec toute l’équipe.

Afin d’améliorer la gestion de votre personnel, n’oubliez pas d’établir une bonne relation avec vos collaborateurs. Deux éléments à privilégier, l’honnêteté et la transparence sont les principaux facteurs d’une coopération sur le long terme. En priorisant la communication avec votre personnel, vous ne seriez plus obligé de faire des recrutements réguliers, donc moins de suivi et de dossier à traiter.

Améliorer l’environnement interne de la société

Pour mieux administrer le personnel, il est important d’améliorer son entreprise, tant au niveau matériel qu’au niveau décor. Installation d’un espace de divertissement, mise en place d’un bureau professionnel, aménagement d’un système d’éclairage approprié, ou encore mise en service d’une climatisation, nombreuses sont les méthodes d’optimisation de la qualité de vie au travail.

Toutefois, afin de ne pas gaspiller de l’argent, il faut connaître ses limites. Par conséquent, il est toujours nécessaire d’avoir une idée du score financier de l’organisation. Si vous n’êtes pas en mesure de gérer les chiffres quotidiens ou mensuels, l’idéal est de contacter un conseiller ou un cabinet de comptable. Pour appliquer des stratégies marketing opérantes, vous pouvez également demander l’aide d’un prestataire.


Aujourd’hui, il suffit de sortir son smartphone pour commander n’importe quel produit ou presque. Le e-commerce est définitivement entré dans les habitudes de consommation. Cela signifie-t-il pour autant la disparition prochaine de tous les magasins “physiques” ? Certainement pas ! Vous constaterez en effet, en parcourant le texte ci-dessous, combien ils restent importants aux yeux des clients. Vous vous apercevrez également qu’il est tout à fait possible de faire coexister ces deux modèles que pourtant tout semble opposer.

La création d’une synergie

Vous comprenez qu’opter exclusivement pour un point de vente en dur revient à se priver d’un nombre incroyable d’acheteurs potentiels. Le site web semble séduire les nouvelles générations et démontre une certaine modernité de l’entreprise qui peut ainsi actionner de nouveaux leviers afin de développer son chiffre d’affaires. Néanmoins, les plates-formes en ligne créent de la distance et ne facilitent pas la relation avec le client. Ce dernier peut aussi avoir certains freins qui l’empêchent de concrétiser son acte d’achat en ligne (peur de se tromper de produits, difficultés pour le paiement, etc.).

On comprend donc assez rapidement que ces deux canaux de vente sont finalement complémentaires. Les forces de l’un vont combler les faiblesses de l’autre. Cependant, il ne faudrait pas complexifier les processus de gestion. L’idée consiste plus exactement à élaborer une stratégie de synergie. Celle-ci doit rechercher en priorité le développement de l’activité commerciale et la recherche constante de la satisfaction client.

Pour y parvenir, vous devrez vous appuyer sur des solutions logicielles modernes et performantes à l’image des développements axés sur la gestion des stocks. Pleinement intégrées au système d’information de l’entreprise, elles vous feront gagner du temps et économiser de l’argent. Gérer la boutique deviendra alors plus simplet et plus rentable ! Elles seront également en capacité de produire des indicateurs et des tableaux de bord afin de faciliter et d’automatiser le suivi au quotidien dans le logiciel de gestion commerciale.

Le web-to-store

Cette stratégie visant à construire une synergie entre le magasin physique et la boutique de commerce électronique porte un nom que vous connaissez peut-être déjà. Elle se nomme le web-to-store. Le web-to-store se résume finalement à inciter les acheteurs connectés à consommer sur votre site tout en les redirigeant vers votre magasin réel. N’oubliez pas en effet que les habitudes des consommateurs ont radicalement changé ces dernières années. Ils ne sont plus rares désormais à rechercher des informations en ligne sur un produit avant de se rendre en magasin pour l’acheter. Profiter également de la tendance actuelle visant à consommer localement, c’est-à-dire au plus près de son lieu de vie. Seules les solutions e-commerce performantes peuvent vous garantir une expérience utilisateur pleinement satisfaisante !

Le Click and Collect

La crise sanitaire liée à la Covid-19 a aussi fortement influencé les habitudes des consommateurs. Une nouvelle pratique s’est fortement développée, poussée par les demandes des clients et du management. Il s’agit du “Click and Collect”. Elle permet à l’utilisateur connecté de commander, de régler ou même de simplement réserver un produit. Les achats seront ensuite récupérés physiquement au magasin par le client sur un créneau horaire qu’il aura lui-même choisi. Il suffira pour cela de fournir le numéro attribué lors de la confirmation de la commande ou de la réservation. Ce fonctionnement évite donc au consommateur de régler des frais de livraison. Il maintiendra le lien avec le vendeur. Pour le commerçant, l’encaissement devient plus simple (100 % en ligne). Il augmentera également la fréquentation de son magasin physique, ce qui pourra se traduire par une progression de son chiffre d’affaires par la suite.

Le Drive

Vous avez sans aucun doute déjà remarqué ces enseignes proposant des services de “drive”. Il peut s’agir d’entreprises de restauration rapide ou de grandes surfaces commerciales. Le principe en est simple. Le consommateur se connecte à un site marchand et réalise ses achats. Il viendra ensuite les retirer sur une des bornes présentes à proximité immédiate du magasin physique. Du point de vue du client, l’intérêt semble évident. Inutile désormais de passer de longues heures dans le magasin pour remplir le caddie. Tout se passe en ligne, tranquillement installé dans votre canapé. Avouez qu’il sera ainsi plus simple de ne rien oublier ! La récupération des produits par le client semble aussi plus avantageuse que la livraison à domicile. Cette dernière reste rarement en effet immédiate et il vous faudra patienter au moins jusqu’au lendemain (voire davantage encore !) pour obtenir vos produits.

La trésorerie est l’un des piliers de fonctionnement d’une entreprise. Il est important de pouvoir bien réguler aussi bien les rentrées que les sorties d’argent. La mauvaise gestion de la trésorerie peut entrainer une fermeture de l’entreprise, surtout s’il s’agit d’une PME. Pour éviter de rencontrer ce genre de situations, vous avez la possibilité d’anticiper les problèmes financiers. Voici cinq conseils pour prévoir les problèmes de trésorerie.

1. Établir un budget de trésorerie prévisionnel pour gérer vos finances

Il est difficile de parler de gestion de trésorerie et de prévision des problèmes sans parler du budget de trésorerie prévisionnel. Cet outil est celui qu’il vous faut pour garder un œil attentif sur vos comptes. Il vous permet d’analyser mois après mois, l’activité de votre PME. Vous y consignerez tous les flux d’argent de votre entreprise : encaissements, décaissements, factures impayées, transactions déjà effectuées. Plus concrètement, le budget de trésorerie prévisionnel est un tableau qui contient des estimations des mouvements de liquidités de l’entreprise. Généralement, c’est un exercice qui couvre une période prévisionnelle de douze mois. Il faudra d’abord recenser tous les types de flux monétaires que votre entreprise rencontre. Ensuite, avec vos connaissances de vos activités et en vous basant sur les transactions déjà effectuées, des prévisions sont établies.

L’objectif de cet exercice est de pouvoir déterminer les soldes mensuels de votre trésorerie pour les mois qui suivront. Utiliser un budget de trésorerie prévisionnel vous permettra d’anticiper les moments de difficultés. Il est en effet plus facile de pallier des problèmes lorsque vous savez quand ils apparaitront. Pour que cet outil vous soit vraiment utile, il vous faudra être très objectif et précis dans les renseignements que vous y mettrez.

2. Améliorer votre fonds de roulement

Le fonds de roulement est la somme d’argent dont disposent les entreprises pour couvrir leurs besoins en attendant les rentrées d’argent. Pendant le laps de temps entre la livraison de vos produits et l’encaissement, il faut pouvoir faire tourner la boite. Si votre fonds de roulement n’est pas conséquent, vous connaitrez de grandes difficultés. Heureusement, les moyens d’augmenter le fonds de roulement sont nombreux. Vous pouvez même recourir à l’autofinancement pour disposer d’une somme plus élevée.

3. Gérer rigoureusement les délais de paiement

L’un des meilleurs moyens d’améliorer le fonds de roulement est de gérer de façon rigoureuse vos délais de paiement. Qu’il s’agisse de ceux accordés à vos clients ou de ceux que vous laissent vos fournisseurs, des négociations s’imposent de chaque côté.

Négocier le prolongement des délais de paiement chez les fournisseurs

Si vous avez des fournisseurs avec qui vous traitez depuis longtemps, vous avez plus de chances d’obtenir d’eux un rallongement de vos délais de paiement. Il est essentiel de pouvoir payer le plus tard possible afin de couvrir les éventuels retards de paiement des clients. Si vos fournisseurs refusent de vous accorder une prolongation de délai, n’hésitez pas à faire jouer la concurrence.

Imposer des paiements rapides aux clients

Pour vos clients les plus fidèles, vous pouvez réserver un délai de paiement favorable. Il s’agit là d’un geste commercial de fidélisation. Pour les autres clients, exigez au maximum les paiements comptants. Il faut que les paiements puissent être faits dans l’immédiat lorsque vous facturez vos services. Il arrivera des moments où malgré un long délai, il y ait tout de même des retards de paiement. Vous avez le droit de lancer une procédure de recouvrement de créances impayées. Commencez toujours par des tentatives de recouvrement amiable, cela permettra de maintenir de bonnes relations commerciales.

Si cette façon de s’y prendre ne fonctionne pas, vous disposez de trois autres moyens de recouvrement de créances plus contraignants. Il s’agit des procédures d’injonction de payer, de référé-provision et de l’assignation au paiement. Le débiteur pourrait être amené à payer des frais de recouvrement en plus de sa créance. Toutefois, avant de lancer l’une de ces procédures judiciaires, il est recommandé d’envoyer un dernier avertissement. Il s’agit de la mise en demeure de payer.

4. Contrôler votre approvisionnement en marchandises

La gestion optimale de vos stocks est l’un des points clés pour prévenir les problèmes financiers dans votre entreprise. Le stock doit couvrir toutes les ventes sans freiner les finances de l’entreprise en raison d’un volume excessif de produits conservés. Avec le budget de trésorerie prévisionnel, vous pouvez déterminer quelle quantité de marchandises il faudra pour couvrir un mois. Grâce à cette estimation, vous épargnerez votre fonds de roulement le plus longtemps possible.

5. Utiliser un logiciel pour gérer votre trésorerie

Mettre la technologie au service de votre PME pourrait vous permettre d’éviter de grands problèmes de finances. Vous pouvez utiliser Excel pour avoir une tenue de vos comptes efficace. Mais le problème avec ce logiciel, c’est qu’il nécessite des connaissances assises en comptabilité. Il existe des alternatives plus simples pour gérer votre PME. Des applications de gestion dédiées aux entreprises comme la vôtre vous permettent de suivre vos finances facilement. Ces outils renseignent sur les flux de liquidités de votre entreprise et établissent des prévisions pour le futur. Les applications de gestion comptable des PME vous permettent aussi d’avoir une idée de l’impact de vos décisions sur vos finances. Vous pourrez ainsi établir des scénarios et en voir les conséquences avant de les mettre en pratique.

Le management de transition est une étape importante pour une entreprise. Effectivement, le développement de la société dépend de la capacité de cet élément-clé, dans la mesure où il doit être capable de tout gérer, aussi bien sur le plan humain et financier que technique. Dans ce contexte, connaître les questions les plus fréquentes associées au management de transition est impératif.

1. Qu’est-ce que le management de transition ?

Métier né des années 2000, le management de transition représente un véritable levier de performance dans une entreprise. Le concept consiste en l’intégration d’un manager externe, pour réaliser une mission stratégique et décisionnelle dans une période déterminée allant de 6 à 12 mois. Le manager agissant dans la transition peut être un consultant individuel ou issu d’un cabinet de management de transition. Le management de transition intervient dans la mise en œuvre d’un plan de changement ou dans le traitement d’une urgence remettant en question l’organisation de l’entreprise. La gestion de crise constitue son rôle principal, dans la mesure où son intervention a pour objectif de limiter les impacts économiques négatifs d’un événement extérieur sur les activités de la société.

2. Quelles sont les missions de cet expert de transition ?

Ce professionnel est le pilote du management de transition et de la conduite du changement d’où sa première mission en tant que remplaçant d’un cadre en cours de recrutement. Dans ce contexte, la continuité des activités de l’entreprise relève de ses compétences. Son intervention doit favoriser la gestion optimale des activités afin de redresser la société. Sa présence en tant qu’accompagnateur de toutes les transformations majeures est de mise, que ce soit au niveau de l’organisation, de la fusion-acquisition, de la transformation digitale ou d’autres projets stratégiques. Levier de l’amélioration de la performance, ce professionnel garantit le déploiement de l’entreprise à l’international en fonction du contexte.

3. À quoi s’attendre avec le management de transition ?

Les premières qualités d’un manager de transition s’avèrent être la réactivité et l’efficacité dans ses missions. Cette attitude est importante pour accompagner le changement majeur dans l’entreprise. Cette mission stratégique amène le manager à créer une rupture dans la société afin de mener à bien les changements et les modes de gestion, tout en choisissant les outils adéquats à adopter. Le management de transition met en œuvre sa mission en trois étapes dont la première consiste à diagnostiquer la situation de manière à pouvoir établir un plan d’action. Durant la phase suivante, cet expert garantit la période d’activation de son plan d’action tout en assurant la bonne application des stratégies. La dernière étape de cette mission se porte sur la transformation ou sur la gestion des crises jusqu’à la période d’atteinte des objectifs. Dans tous les cas, les missions de cet expert de transition doivent être supervisées par la direction générale ou par le comité de direction. De son côté, le directeur administratif assure la bonne gestion du budget alloué à cette mission de conduite de changement.

4. Quelles sont les fonctions principales de ce manager ?

Les fonctions principales les plus concernées par le management de transition s’avèrent être les ressources humaines, la finance et le secrétariat général. En tant qu’expert, ce professionnel est aussi un leader pouvant mener les projets qui lui ont été confiés jusqu’au bout. À ce titre, ce professionnel doit être capable d’optimiser la performance de l’organisation et de l’entreprise, que ce soit pour des projets ponctuels ou à long terme. Dans cette optique, cet expert doit assurer la transmission efficace de ses réalisations.

5. Quelles compétences doit avoir le professionnel de transition ?

Les expériences réussies dans de nombreux secteurs sont indispensables pour prétendre réussir le management de transition. Dans la majorité des cas, les managers de transition ont entre 40 ans et 60 ans, une maturité qui justifie les nombreuses années d’expérience (au moins 20 ans) dans leur spécialité. Certains professionnels de cet âge ont surtout évolué en tant que directeurs des ressources humaines, directeurs généraux, directeurs commerciaux, directeurs financiers ou occupent des fonctions à responsabilité. Certains managers de transition ont moins d’expérience, mais ces cas exceptionnels concernent les personnes dotées de compétences spécifiques, pour ne citer que les spécialistes de la nouvelle technologie. Effectivement, les profils d’experts dans le secteur de la stratégie digitale sont plutôt jeunes. Ces derniers sont appelés à intervenir dans l’initiation et le pilotage de transformation digitale dans les entreprises. Ces jeunes sont chargés de l’implémentation des nouvelles solutions digitales, de la gestion du personnel et du pilotage numérique des activités en général.

Le management de transition ne prend pas en compte le genre, d’où la présence des femmes qui occupent cette fonction, même en petit nombre (26%). Tout ce qui compte dans ce secteur est l’expérience, l’esprit d’analyse, la détermination, le leadership et la capacité de mettre en œuvre son plan d’action de manière efficace et rapide.

En 1992, la Contribution Sociale de Solidarité des Sociétés est établie par la loi de finances. La C3S tient un rôle très important dans une entreprise. Qu’est-ce que la C3S ? Si elle est importante dans une société, quelles entreprises sont concernées ? Comment calculer cette C3S ? Que doit-on savoir sur son paiement ?

À propos de la C3S

La C3S (Contribution Sociale de Solidarité des Sociétés) aide les directions de protection sociale en finançant les travailleurs indépendants comme les commerçants, les artisans, les exploitants agricoles… C’est un impôt qui a été établi par la loi n° 70-13. Elle est aussi contribuée supplémentaire à charge des entreprises, exigibles, assises, contrôlées, recouvrée et étudiée à la CNAM. En 2010, elle est allouée au redressement monétaire de l’Assurance maladie et dans les années 2011 à 2014, elle est allouée au FSV (Fonds de Solidarité Vieillesse). Au niveau de ces contributions, la totalité de la somme recouvrée se haussait à 4 407 millions d’euros en 2015. Par conséquent, cela exonère de nombreuses sociétés. Depuis l’année 2016, la contribution additionnelle et la C3S sont reversées à 31 % à la MSA, 41,70 % à la CNAVTS et 27,30 % à la CNAMTS.

L’une de l’importance de la C3S est de compenser l’insuffisance de ressources de mesures sociales des professions commerciales, artisanales et industrielles. C’est aussi son principal objectif. Pour pouvoir en savoir plus, vous pouvez renseigner sur l’importance de la C3S.  

Les entreprises concernées par la C3S

Les entreprises dépendantes sont concernées par la C3S. Il existe en existe plusieurs comme les SELAFA, les SAS, les SA, les EURL, les SARL, les SNC. Il y a aussi les sociétés en financement, les entreprises qui ont des services sur les territoires français comme les GEIE et les GIE. À part, les entreprises étrangères qui travaillent sur le territoire français. Les personnes qui sont dignes de droits publics et qui utilisent une activité pour concurrencer le secteur privé sont également concernées.   D’après la contribution de 2015 pour 2016, si les chiffres d’affaires de ces entreprises sont au-dessus de 19 millions d’euros, ils sont assujettis. Autrement, les entreprises exonérées de la C3S sont aussi concernées. Entre outres, l’entreprise de l’immobilière de communauté, de crédit immobilier et d’HLM, de gestion immobilière, de libre partenariat, d’investissement, des sociétés qui peuvent réaliser immédiatement avec l’avantage de l’exonération.

 Dans les entreprises, l’importance de la C3S est de s’assurer si les montants du chiffre d’affaires au-dehors de taxes sont dépassés de 19 millions d’euros. Il faut que ce chiffre d’affaires se corresponde à l’augmentation des sommes taxables à la TVA.

Les déroulements de la C3S

Mis à part l’importance de la C3S, il est aussi nécessaire de savoir comment elle est calculée. Dans le chiffre d’affaires, le taux global convient à 0,16 %. Dans ce taux, 0,03 % pour la CA (Contribution Additionnelle) et 0,13 % pour la C3S. Mais parfois, la taxe additionnelle et le taux accumulé de la C3S sont culminés à 3,08 % de la limite brute comme les organismes financiers, les entreprises de commerce, les sociétés d’assurance, les commissionnaires… En plus, les refacturations d’impôts de services au niveau des associés ou les membres de SNC/GIE sont indépendantes à la C3S.

En parlant du paiement de la C3S, elle se fait par la banque, c’est-à-dire, par un virement bancaire. Mais une fois le paiement ou une déclaration est en retard, cela entraîne une augmentation de la C3S. Cependant, cette augmentation ne dépasse pas 10 % du montant payé. En 2017, le gouvernement a supprimé la Contribution Sociale de Solidarité des Sociétés. Cela apporte des changements au niveau de la protection sociale des salariés libres. Avant, ils sont payés par la C3S alors qu’après le changement, ils sont financés par le régime général.

Les services d’un expert-comptable pour les PME s’avèrent généralement importants. Ses conseils avisés peuvent ainsi permettre aux gérants d’optimiser leur comptabilité et prendre de bonnes décisions. Cependant, trouver le meilleur cabinet d’expertise comptable relève parfois du parcours du combattant. De plus, il ne faut pas confier le projet à n’importe qui. C’est pourquoi il est crucial de collaborer avec un bon expert. Pour trouver un comptable expert, vous pouvez faire des recherches directement sur internet.

Pourquoi se confier à un cabinet comptable ?

Le cabinet d’expertise comptable apporte une multitude d’avantages à ses clients. En prime abord, le recours à un professionnel externe permet de mieux vous concentrer sur votre activité et votre business. En effet, vous laissez la partie comptabilité entre les mains des spécialistes. Cet atout a d’autres conséquences positives. Vous aurez plus de temps pour vous occuper de vos propres missions. La comptabilité est également mieux tenue et plus fiable.

Puis, les bons documents seront transmis à temps à la bonne administration. Cela permet d’éviter les pénalités. Par ailleurs, la responsabilité de l’expert-comptable relative aux déclarations vous couvre en cas de litige. Mais il est nécessaire de savoir que quel que soit le type de cabinet, le dirigeant doit entrer en collaboration avec le spécialiste des chiffres. Rendez-vous sur www.cabinetlds.com pour trouver un cabinet d’expertise comptable dans la ville de Dijon.

Les missions des experts-comptables

Le cabinet comptable à Dijon réunit des professionnels susceptibles de vous aider dans plusieurs domaines stratégiques de l’entreprise. Certains spécialistes du cabinet seront spécialisés sur la gestion de finance pure et traiteront les analyses de la comptabilité de la société, les comptes de l’entreprise ainsi que les déclarations liées. Les experts peuvent aussi établir un audit ciblé à tout moment de l’activité. D’autres collaborateurs se concentrent sur les domaines administratifs, juridiques et sociaux, y compris la paie et la gestion des congés. Ils analysent également le suivi des AG, les accords entre associés ainsi que les relations avec les actionnaires.

Enfin, il y a ceux qui sont plutôt axés sur les conseils. Ils analysent les chiffres afin de donner une image commentée de l’entité à l’instant T et vous permettre de prendre de meilleures décisions. Cette spécialisation est souvent réservée aux grands cabinets comptables. Toutefois, il faut préciser qu’un seul et unique expert-comptable doit être capable d’accompagner son client dans tous les domaines d’expertise. D’ailleurs, il est essentiellement formé pour ce genre d’intervention.

Les critères de choix d’un cabinet comptable

Pour trouver le meilleur bureau d’expertise comptable à Dijon, il existe quelques éléments à prendre en compte. Tout d’abord, vous devez vérifier les compétences des spécialistes. Le métier de comptable a cet atout que les compétences sont attestées par une inscription au tableau de l’Ordre des Experts Comptables. Il s’agit d’une obligation légale et vous pouvez vérifier si votre prestataire figure dans ce tableau. Tant que les responsabilités du professionnel sont étendues, il a intérêt à faire cette inscription. Ensuite, la proximité est aussi un élément à considérer.

Cependant, cette proximité n’est pas forcément géographique, surtout dans le cas d’un cabinet en ligne. En effet, la fiabilité de l’équipement est aussi un point important. L’idée est en fait de vous sentir proche de votre comptable grâce à ses capacités d’écoute. Puis, il faut voir la réactivité du spécialiste. Celui-ci doit vous répondre et donner suite rapidement à vos requêtes, et ce, par tous les moyens de communication possibles. Enfin, intéressez-vous sur l’équipement du prestataire. La comptabilité est un métier touché par la technologie qui évolue constamment. Le professionnel doit être équipé de différents logiciels afin de mener à bien les missions qui lui sont confiées.

Des améliorations constantes pour améliorer votre petite entreprise sont essentielles à son succès et à sa durabilité. Des choses comme la surveillance constante des flux de trésorerie, l’utilisation des médias sociaux pour le marketing et la reconnaissance de vos forces tout en demandant de l’aide dans des domaines qui le sont moins peuvent vous aider à vous concentrer sur l’amélioration des domaines de votre entreprise qui offrent le plus grand gain.

Parfois, c’est une bonne idée de garder une liste de contrôle à portée de main pour vous rappeler les étapes de base que vous devez suivre régulièrement.

  1. Gardez le score financier

Peu de petites entreprises ont une idée précise des chiffres quotidiens, hebdomadaires et mensuels et des tendances financières au sein de l’organisation. Il est essentiel que vous passiez le temps nécessaire à vous tenir au courant des flux de trésorerie. Si vous n’avez pas les compétences financières, embauchez un comptable, mais restez toujours au courant.

  1. Fixez-vous des objectifs

Tout comme le pointage, la définition des buts et objectifs est un élément essentiel du succès de votre entreprise. Utilisez les objectifs que vous vous êtes fixés comme outil de planification continue pour vous assurer de continuer à aller de l’avant avec votre petite entreprise. Par exemple, essayez d’augmenter le trafic d’un certain montant sur le site Web ou le blog de votre entreprise. Plus de trafic Web peut se traduire par des ventes supplémentaires ou par la fidélisation de la clientèle.

  1. Utilisez un marketing à fort impact

Il est facile de gaspiller de l’argent sur un marketing inefficace. Recherchez des stratégies de marketing à faible budget et à fort impact pour améliorer votre petite entreprise. Testez une ou deux nouvelles tactiques et voyez celles qui fonctionnent le mieux avant de les ajouter à votre mix marketing. Les médias sociaux sont un excellent moyen à faible coût et à faible risque de promouvoir votre entreprise. LinkedIn, Facebook, Twitter et Instagram sont quelques bons outils pour créer une présence sociale et attirer l’attention sur votre entreprise.

  1. Présentations professionnelles principales

Une présentation commerciale puissante peut aider à améliorer les performances de votre petite entreprise. Commencez par apprendre l’essentiel d’une présentation commerciale mémorable. Celles-ci peuvent inclure la livraison d’une petite perle de sagesse inattendue pour captiver votre public. Cela dit, ne surchargez pas votre présentation d’informations. Gardez tout pertinent.

  1. Surveiller les tendances

Aucune entreprise ne fonctionne en vase clos. Les événements et les changements dans le paysage mondial ont un effet sur votre entreprise. Restez au courant des tendances et des problèmes qui se produisent dans votre industrie et votre communauté locale. Même les choses qui ne semblent pas pertinentes en surface peuvent avoir un impact sur ce que vous faites, alors considérez toutes les possibilités.

  1. Aiguisez vos compétences de vente

Un domaine à haut rendement pour l’amélioration de l’entreprise est la fonction de vente. Que vous soyez une entreprise individuelle ou que vous dirigiez une équipe de vente, vous devez vous concentrer sur l’amélioration des ventes. Pour commencer, clarifiez votre mission commerciale. Lorsque vous déterminez les domaines dans lesquels vous excellez et qui a besoin de ce que vous faites, vous aurez un plus grand sens de la vision et du but.

  1. Trouver les meilleures pratiques

Garder tout transparent est un fondement important. Cela signifie briser les silos, communiquer efficacement, tester, surveiller et approuver vos processus afin que tout fonctionne correctement. Un autre exemple est de documenter vos processus pour éviter toute mauvaise communication.

  1. Motiver le personnel

Les membres du personnel talentueux et motivés peuvent apporter de grandes améliorations dans les affaires. Découvrez ce qui motive vos employés à atteindre des niveaux de performance plus élevés. Une partie de cela est d’être prêt à écouter les commentaires et les idées de tous les membres du personnel, quel que soit leur poste ou leur ancienneté. Certaines des meilleures idées viennent de ceux qui sont les plus proches de certains problèmes.

  1. Connaissez vos limites

Les propriétaires d’entreprise prospères ont une idée claire de leurs limites. En connaissant votre type de personnalité entrepreneuriale, vous pouvez gérer vos ressources et trouver de l’aide dans les zones de faiblesse. C’est un facteur clé du succès. Par exemple, si vous êtes doué pour la vente mais moins expérimenté en comptabilité, concentrez-vous sur les ventes et embauchez quelqu’un d’autre pour gérer les livres.

  1. Faites une pause

Gérer une petite entreprise est un travail difficile. Parfois, la meilleure façon d’améliorer votre entreprise et de raviver votre passion est de prendre des vacances. Ne sous-estimez pas la valeur potentielle de passer du temps loin de votre travail.

La planification d’entreprise est le haricot magique des entreprises prospères. Utilisez les principes de base de la planification d’entreprise pour mettre en place un plan, lui accorder l’attention continue dont il a besoin et votre entreprise se développera de plus en plus forte. Le fait que cela devienne plus grand et plus fort dépend du plan que vous avez choisi, mais le fait est que, sans planification d’entreprise, vous avez de bonnes chances de vous retrouver avec rien d’autre que de la saleté pour montrer vos efforts.

Cet article vous montre comment utiliser les principes de base de la planification d’entreprise pour créer un plan d’action qui fournira à votre petite entreprise une orientation pour l’année à venir, ou plus. Lorsque vous l’avez terminé, vous aurez un énoncé de vision, un énoncé de mission et des objectifs commerciaux spécifiques qui vous permettront de mettre en œuvre votre planification d’entreprise.

Principes de base de la planification d’entreprise

Commençons donc par les bases de la planification d’entreprise.

L’hypothèse de la planification d’entreprise est que vous voulez que votre petite entreprise réussisse. La première question est donc : « Que voulez-vous ? »

Pour répondre à cela, vous devez avoir décidé comment vous allez mesurer votre succès. Par exemple, voulez-vous que votre petite entreprise :

Ce ne sont là que quelques exemples de ce qu’une petite entreprise prospère peut signifier pour vous. Remarquez comment l’argent peut ou non figurer en bonne place dans votre interprétation du succès.

Le cadre de planification des activités

Maintenant que vous avez décidé ce que vous voulez que votre petite entreprise accomplisse, nous formaliserons vos désirs dans un énoncé de vision dans le cadre de la planification d’entreprise.

Tout d’abord, cependant, parce qu’un énoncé de vision consiste à choisir une destination future, vous devez articuler où vous en êtes maintenant, en donnant à votre planification d’entreprise un point de départ ainsi qu’un point final. Vous faites cela par w ÉCRITURE un énoncé de mission, décrivant ce que votre entreprise et comment vous le faites.

Puis façonnez votre énoncé de vision en appliquant la formule comme indiqué. (Notez que l’utilisation d’un calendrier de cinq ans n’est pas une exigence : vous pouvez certainement le changer pour le nombre d’années que vous souhaitez.)

Principes de base de la planification d’entreprise : objectifs commerciaux

Maintenant, vous avez un énoncé de mission qui dit où vous en êtes et un énoncé de vision qui indique où vous voulez arriver, vous êtes donc prêt à étoffer le cadre de planification d’entreprise en créant les objectifs commerciaux qui vous y mèneront.

Les bons objectifs commerciaux suivent trois règles d’établissement d’objectifs.

1) Les objectifs commerciaux doivent être pertinents.

Les propriétaires d’entreprise font parfois l’erreur de choisir des objectifs commerciaux inutiles. Par exemple, une personne que je connais s’est fixé comme objectif commercial de distribuer cent cartes de visite par mois. Eh bien, il l’a fait, mais alors ? Si son intention était de faire plus d’affaires, nous savons tous que le moyen d’y parvenir est d’établir des relations avec les gens, et vous n’accomplissez pas cela simplement en donnant une carte à quelqu’un. L’ensemble de l’exercice n’était qu’une perte de temps.

Pour être pertinent, un objectif commercial doit être rentable d’une certaine manière. Cela ne veut pas dire que chaque objectif commercial doit être mesurable en euros, mais il doit posséder un avantage ou un avantage clair pour votre entreprise.

2) Les objectifs commerciaux doivent être réalisables.

Une erreur encore plus courante lors de la définition des objectifs commerciaux est de choisir des objectifs commerciaux trop vagues ou trop abstraits.

Lorsque vous définissez des objectifs commerciaux, assurez-vous de les avoir développés à partir d’énoncés généraux, comme dans l’exemple ci-dessus, vers des actions spécifiques pouvant être exécutées et évaluées. Les objectifs sans plan d’action ne sont que de jolis mots.

3) Les objectifs commerciaux doivent être réalisables.

Le but des objectifs commerciaux est de faire avancer nos activités et de nous motiver. Nous devons donc positionner la barre très soigneusement lorsque nous fixons des objectifs commerciaux. Si la barre est trop élevée, nous nous préparons à l’échec et à la déception et beaucoup d’entre nous, reconnaissant cela à l’avance, cesseront d’essayer.

D’un autre côté, si la barre est placée trop bas et que tout ce que nous avons à faire est de la franchir, nous ne prendrons peut-être pas la peine de le faire car nous n’obtiendrons pas assez de satisfaction ou de reconnaissance de l’accomplissement. Un objectif doit nous étirer pour qu’il vaille la peine d’être fait. Reconnaissez qu’un objectif commercial doit « se sentir » utile et fixer des objectifs qui permettront d’atteindre le double objectif.

Suivez ces trois règles lorsque vous définissez des objectifs commerciaux et vous constaterez que vous en faites automatiquement plus, car vous ne perdrez plus de temps à définir des objectifs qui vont à l’encontre de l’objectif de l’exercice.

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